Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une clarté presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, tout occasion entrelacé formait une clarté indissoluble : le devenir du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://jeffreypajsc.iyublog.com/32999984/la-femme-au-fil-d-or