Callista resta de longues heures à arrimer l’horizon, à l’affût du moindre frémissement des vagues ou d’un écho lointain qui lui apporterait une solution. Pourtant, la mer demeurait dur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule clarté https://hermannf787lfw9.blogproducer.com/40861676/l-écho-des-creux-de-la-vague