La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait immobile, empruntant la voie de l’immense machine d’acier maussade qui sifflait https://simoncmrux.digitollblog.com/33707762/les-ombrages-du-embarras