En Mongolie, l’année 2050 baignait dans un calme traditionnel, entre étendues de steppe et scènes battus par les vents. Au cœur d’un canyon singulier, le chamane Bayartu installait chaque matin ses capteurs soniques, orientés en détail vers les failles de la roche. Sa dégagé n’avait rien d’archaïque : il utilisait https://juliuspgrbl.tribunablog.com/la-ligne-brisée-48326720