Dans un seul cabinet basé en périphérie de embrun, une acupunctrice pratiquait son art pendant plus de 10 ans dans une discrétion divine. Les murs en bois propre, l’odeur d’huiles majeures et le vacarme régulier formaient l’écrin parfait pour les séances chaque jour. Jusqu’au journée où, en plantant une aiguille https://zanejrvzb.blogdiloz.com/33090816/le-cran-pensée