Les jours passaient dans un distinction intemporelle, coordonnés à la luminosité pâle du nord et les virages ritualisés des corneilles. À l’aube, elles s’élevaient délicatement, en spirale, comme si le ciel lui-même les désirait à bien dater des messagers incorporels. L’enfant, désormais adolescente, se tenait n'importe quel matin au foyer https://juliushnoom.ja-blog.com/34296107/le-frein-des-doubles-obscurcissements