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Les lignes qui persistent

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Chaque soir, Liora ravivait le bouquet dans l’âtre rondelette en plein coeur de son fabrique. Elle y jetait les contenus de cuivre en calme, laissant les sensualités danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un tic. C’était une souffle lente, une habitude débarquée d’un acte ancestral répété incessamment. https://voyance-gratuite-en-ligne35677.bloggerswise.com/41618486/le-gerbe-des-contours

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