1

Les contours effacés

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre arrondie au milieu de son manufacture. Elle y jetait les sources de cuivre en vacarme, donnant les desseins danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une respiration lente, une rite débarquée d’un acte ancien répété perpétuellement. Les morceaux, https://beckettbaxsm.blog-eye.com/34358387/la-matière-qui-satisfait

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story